Dans un village singulier aux confins de la Bretagne, Émeline vivait entourée des brumes épaisses et du vacarme pesant des landes. Depuis son plus inexpérimenté âge, elle ressentait des présences psychiques qui effleuraient son Énergie sans jamais se démontrer. Ce don, hérité de sa grand-mère, lui valait aussi bien la trac que le professionnalisme des habitants. Malgré cela, elle avait incomparablement refusé de l’exploiter, préférant manipuler un futur occulte loin des superstitions. Pourtant, une nuit, un dessein récurrent la plongea dans un coup de déprime inhabituelle. Les visages flous d’âmes tourmentées se succédaient, lui murmurant des alarmes qu’elle ne comprenait pas. Convaincue que ces guidances n’étaient pas des songes, elle se résolut à bien rallier une réponse. Elle connaissait la notoriété de la voyance par téléphone sérieuse avec Voyance Olivier, dont on disait qu’il perçait les mystères les plus impénétrables. Après avoir longtemps hésité, elle composa le numéro d’une majeur tremblante. Une voix apaisante l’accueillit, l’invitant à bien détailler sans frayeur. Aussitôt, une sentiment étrange l’envahit, à savoir si une force imperceptible s’immisçait entre elle et la tarologue. Le pratique fait d’exposer son peine déclencha des frissons le long de son échine. Olivier, de son côté, ferma les yeux et laissa ses collecte s’ouvrir à bien la réalité ignorée. À travers le cours, il lui révéla que ces ombrages n’étaient pas des fantômes ordinaires, mais des fragments d’une rappel ancienne qui s’accrochait à elle. La voyance ne mentait jamais, et la voyance par téléphone sérieuse avec Voyance Olivier allait lui donner les moyens de saisir motivation ces âmes cherchaient à bien la contacter. Il lui parla d’un baptême survenu on peut trouver des millénaires, d’une trahison oubliée qui attendait d’être réparée. Elle observa avec précaution les étagères, puis remarqua une irrégularité dans la nuance de livres. L’un d’eux semblait mollement décalé, comme s’il n’était pas à bien place. Elle tendit la coeur et le tira doucement. Un déclic retentit, constant d’un bruit mécanique. La bibliothèque tout unique se mit à bien pivoter légèrement, révélant un passage illuminé. Un frisson parcourut l’échine d’Émeline. Derrière la bibliothèque s’ouvrait un couloir intilme, faiblement éclairé par une jour tremblotante émanant d’une transparence inconnue. L’air y était plus lourd, plus oppressant, chargé de cette loi d'attraction que solitaires un endroit imprégné de drames pouvait résulter.

Les chandeliers accrochés aux murs vacillèrent, projetant de certaines ombres mouvantes. Un murmure résonna dans l’air, faible, presque inaudible, mais énormément soigné pour lui faire comprendre un mot : trahison. Émeline sentit un frisson lui vaincre l’échine. Quel illuminé ce manoir cachait-il ? Pourquoi cette masculinité apparaissait-elle à travers ce vitrage brisé ? La voyance par téléphone sérieuse avec Voyance Olivier lui avait droits de franchir une séparation indisctinct, mais à la minute qu’elle était là, elle se sentait plus désemparée que jamais. Alors qu’elle fixait le reflet altéré, une écoeurement fulgurante lui transperça le facies. Des portraits déferlèrent dans son Énergie, notamment si elle vivait les biographies d’une autre. Des cris résonnèrent, une polémique violente dans une chambre illuminée par des chandelles. Un espèce humaine, au regard remplissage de rogne, accusant l'individu de trahison. Puis, voyance par téléphone sérieuse avec Voyance Olivier une vilenie, un hurlement attendrissant, et enfin… le vacarme. Elle recula, terrifiée. Cette féminité avait été assassinée. Et son meurtrier, qui était-il ? Était-ce l’homme qu’elle avait aperçu ? Ou une nouvelle majeur ésotérique dans l’ombre ? La voyance par téléphone sérieuse avec Voyance Olivier lui avait ouvert une porte, mais arrière celle-ci se trouvait une légende obscur qu’elle ne savait pas encore de quelle façon régler. Elle posa une index tremblante sur le miroir. Dès qu’elle effleura le support, une flou glaciale envahit la bague. La lignes en arrière elle ouvrit la bouche, notamment si elle désirait sagace, mais pas de son n’en sortit. L’espace d’un instant, Émeline sentit la lisière entre le macrocosme des vivants et celui des morts s’effondrer. Elle savait que pour interpréter, elle devait aller plus loin. Le manoir n’avait pas livré tous ses inspirés.